Sonar la campana
Introduction
Le sonneur (sonièr, sonaire, campanièr, campanièira si c'était une femme) sonnait le glas (las finidas, lo clas) de l'annonce du décès jusqu'à l'enterrement. Dans certaines paroisses, la sonnerie n'était pas la même s'il s'agissait d'un homme, d'une femme ou d'un enfant.
Vidéo
© Institut occitan de l'Aveyron - Réalisation Amic BEDEL
Albert CÉPIÈRE
né en 1920 al Causse de Camboulan d'Ambeyac.
Transcription
Occitan
Français
« Quand quauqu'un es mòrt, venon nos dire de sonar la campana. L'òm sòna la campana. Tres o quatre còps de campana que se segon : tam, tam, tam, tam. E après, caliá esperar quatre o cinc minutas e téner la campana, que sone pas, e en tombent fasiá un son. »
Sonner la cloche
« Quand quelqu'un est mort, ils viennent nous dire de sonner la cloche. On sonne la cloche. Trois ou quatre coups de cloche qui se suivent : tam, tam, tam, tam. Et après, il fallait attendre quatre ou cinq minutes et tenir la cloche, qu'elle ne sonne pas, et en tombant elle faisait un son. »
« Quand quelqu'un est mort, ils viennent nous dire de sonner la cloche. On sonne la cloche. Trois ou quatre coups de cloche qui se suivent : tam, tam, tam, tam. Et après, il fallait attendre quatre ou cinq minutes et tenir la cloche, qu'elle ne sonne pas, et en tombant elle faisait un son. »
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