Los negats de Cambolanh
Introduction
Faute de ponts, on franchissait les principaux cours d’eau dans des barques (naus). Parfois, des passeurs professionnels (passaires) faisaient payer chaque passage. Les accidents n'étaient pas rares.
Vidéo
© Amic BEDEL - Tous droits réservés Institut occitan de l'Aveyron
Marcelle CÉPIÈRE
née Espinasse en 1925 à Estrabols le Haut de Saujac, décédée en 2018.
Transcription
Occitan
Français
« Passavan amb un long batèu aquí a La Diga qu'apelèm, al-dejós lo cementèri. Un còp, i aviá del monde de Cambolanh que anavan trabalhar sus la voès. Lo Lòt èra talament naut, èra en crue, e n'i agèt que se neguèron.
– Quatre.
– Z'o cresi, de Cambolanh.
– Oui. »
– Quatre.
– Z'o cresi, de Cambolanh.
– Oui. »
Les noyés de Camboulan
« Ils passaient avec un long bateau là à La Digue, sous le cimetière. Une fois, il y avait des gens de Camboulan qui allaient travailler sur la voie. Le Lot était tellement haut, il était en crue, que certains d'entre eux se noyèrent.
– Quatre.
– Je crois, de Camboulan.
– Oui. »
« Ils passaient avec un long bateau là à La Digue, sous le cimetière. Une fois, il y avait des gens de Camboulan qui allaient travailler sur la voie. Le Lot était tellement haut, il était en crue, que certains d'entre eux se noyèrent.
– Quatre.
– Je crois, de Camboulan.
– Oui. »
Localisation
Vous aimerez aussi...
En cours de chargement...