Aucas e rits

Collecté en 1998 par IOA Sur la Commune de Alpuech Voir sur la carte
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Introduction

La maîtresse de maison, la patrona, régnait sur le potager (òrt) et la basse-cour qui permettaient de couvrir une bonne partie des besoins alimentaires. Les excédents vendus au marché lui procuraient un peu d’argent pour les besoins de la maison.

En Viadène, les oies (aucas) étaient souvent gardées dans des communaux humides.

En général, elles n’étaient pas gavées mais engraissées avec des pâtées. Les quartiers confits d’oie ou de canard permettaient à la maîtresse de maison de recevoir convenablement un visiteur arrivé à l’improviste.

Ethnotexte

Valérie CHASSANG

née Andrieu en 1913 à Alpuech.

Transcription

Occitan
Français
« Avián d’aucas, de pintardas… I aviá de tot.
N’i aviá un que n’aviá d’aucas !
Al codèrc [d’Alpuèg], i aviá un pesquièr bèl e les canards e las aucas i anavan, aquí. Les canards i anavan totes souets. Se seguián un darrièr l’altre.
N’i aviá que embucavan. Butavan ambe la cavilha. Aquò èra de milh. »

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