Ferrage d'un équidé devant une forge (farga), 1972

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Introduction

Ferrage d'un équidé devant une forge (farga), 1972

Mitou et Maryse Fabre, Jean Galtier et Elie Lecouls forgeron (marechal)

Lo marechal
« Equipé de son tablier en cuir, le maréchal a des outils bien à lui : le rogne-pied pour couper la corne du sabot, la tricoise, la râpe pour niveler, le bute-avant pour le pied du bœuf, les longues tenailles pour tenir le fer au feu de la forge. Un apprenti ou un homme de la ferme l’aide à tenir le pied, ce qui s’appelle ferrer à la française. Quand le fer est chaud il faut l’ajuster au sabot et alors se dégage une fumée âcre et épaisse. Encore quelques coups de marteau sur l’enclume et le fer a un arrondi parfait et une épaisseur convenable. Si le cheval est craintif, il faut l’apaiser, lui parler et si une mouche vient à le piquer, on se sert du chasse-mouches appelé mouscal. Comme le maréchal approche souvent les animaux, il est un peu détenteur de secrets et de recettes pour soigner un pied cagneux ou une plaie qui s’infecte. » (Extrait de “Les métiers d’autrefois”, d’après Etienne Fabre, dans Bulletin interparoissial)

Sant-Roma de Sarnon, 1972

Photo

Ferrage d'un équidé devant une forge (farga), 1972
© FABRE Etienne (St-Rome-de-Cernon)

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