Famille autour d'une faucheuse (dalhusa, segaira) achetée depuis peu, à Béteille, 1900-1905

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Introduction

Famille autour d'une faucheuse (dalhusa, segaira) achetée depuis peu, à Béteille, 1900-1905
Baptiste Puechberty ; Mlle Puechberty ; un domestique (vailet) ; Astorg Puechberty ; Achille Bosc ; Léon Albert, forgeron (fabre).

En 1892, l’Aveyron compte 88 faucheuses (dalhairas, dalhusas, segairas), 40 moissonneuses (missonairas) et 25 râteleuses (rastelairas). Afin d’encourager l’usage de la faux (dalha, dalhe) pour des moissons qui se font partout à la faucille à moisson (volam), la Société d’agriculture fait venir, en 1858, des moissonneurs tarnais (segaires, missonièrs). Les faucheuses connues en France vers 1860 ne s’imposeront en Rouergue que vers 1900.

Pour le battage, le rouleau de pierre (redolet, rotlèu) apparaît en Rouergue occidental au milieu du XIXe siècle, en même temps que les premières machines à battre, la première étant mentionnée à Villefranche de Rouergue (Vilafranca de Roergue) en 1844.

Crompa d'una dalhaira a Betelha de Sant-Andriu de Najac, 1900-1905

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Famille autour d'une faucheuse (dalhusa, segaira) achetée depuis peu, à Béteille, 1900-1905
© BOSC Gérard (St-André-de-Najac)

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Famille autour d'une faucheuse (dalhusa, segaira) achetée depuis peu, à Béteille, 1900-1905
© BOSC Gérard (St-André-de-Najac)

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