Mon père qui était fort riche…

Collecté en 2004 par IOA Sur la Commune de Onet-le-Château Voir sur la carte
J'apporte des précisions ou
je demande la traduction >

Introduction

La foi n'empêchait pas l'existence d'histoires drôles, de formules ou de chants satiriques raillant le clergé, les paroissiens ou les pratiques religieuses.

Ces chants satiriques et les parodies du sacré sont calqués sur des matrices issues de la liturgie.

Son

Joseph PALOUS

né en 1913 à Onet le Château.

Transcription

Occitan
Français
« Mon père qui était fort riche,
Donna tout ce qu’il avait,
Pour me faire faire curé.
Mais moi qui n’avais,
La fibre, ni la fantaisie,
Je me suis fait curé,
J’ai perdu la liberté…
Le jour de ma première messe,
Au fond de l’église,
J’aperçois ma maîtresse.
Jeunes gens qui êtes là-bas,
Embrassez-la pour moi,
Car pauvre curé que je suis,
Il faut attendre,
Qu’elle vienne se confesser,
Et encore je ne pourrais faire
Ce que mon cœur désirerait.
E aquel caluc,
Aviá pas qu’un escut,
Dins un Domino vobiscum,
L’aviá sacat davant
E dins un engolat,
L’aviá davalat. »

Pas de traduction pour le moment.

© Tous droits réservés Institut occitan de l'Aveyron

Localisation

Vous aimerez aussi...

En cours de chargement...